Compteur avant Trail blanc du Sancy 204

dimanche 25 mai 2014

Résultat foulées de Nevers

Quel déluge vendredi soir !!! De la bonne grosse pluie du début à la fin !!

Difficile de faire une bonne perf dans ces conditions mais bon....

Résultat 10,14 Km 184 m de dénivelé positif en 44m50. Soit 13,50 km/h de moy.
Je fais 179 eme sur 534 arrivant.
Pas mal pour un temps aussi pourri et pour quelqu'un qui ne fait presque jamais de bitume ou de piste.
Ce qui prouve que je fais vraiment du trail c'est que dans les montées j'étais bien et j'ai rattrapé pas mal de monde !

Je refais un 10 km le 15 juin avec courir à Clermont. J'espère me rapprocher des 42 minutes ce serait super.

mardi 20 mai 2014

Compétitions à venir.....

Voici les compétitions à venir:

- Foulée de Nevers 10 Km vendredi 23 Mai. Départ 19h45. Dossard n° 1122.
- Ultra lozère les 7 et 8 juin. 108 Km et 6000 M+.
- Courir à Clermont 10 Km le 15 juin.
- L'ultra trail du puy Mary le 23 juin. 105 Km et 5600 M+

mardi 6 mai 2014

Anémie. Carence en fer...et oui

Suite à ma dernière analyse de sang, je suis anémié. Carence en fer.
Le fer sert à a fabrication des globules rouge et à la captation de l'oxygène. Du coup le transport et l'échange d'oxygène vers les muscles ce fait mal.
Je suis plus essoufflé.
Voici mes nouveaux amis...

Trail de l'améthyste

Retour sur le trail de l’améthyste.
Que dire, tout d'abord, le parcours a été revu ..en mieux. Le final (les 10 derniers Km) est plus technique, très cassant avec beaucoup de mono trace en montées descentes.
Départ avec un temps couvert et 2° .
Dès le départ mal aux jambes, pas dans le coup. Quelques belles rencontres, une erreur de parcours (et oui, encore une !) et de beaux paysages.
Le temps est anecdotique autour des 5 heures pour 45 Km et 1850 M+ . Je m'en doutais vu ma carence en fer du moment !

Pas grave maintenant la prochaine c'est les foulées de Nevers fin mai et l'ultra lozère dans les gorges de Tarn début juin.



Ostéopathie et sports

Article très intéressant que j'ai trouvé sur les bienfaits de l'ostéopathie. 


Intérêt de l’ostéopathie dans la pratique de la course à pied



L’ostéopathie est une science manuelle qui vise à libérer le corps de ses tensions. Elle agit de manière globale en s’intéressant aux tissus osseux, articulaires, ligamentaires, musculaires, viscéraux, craniens…
L’objectif premier de l’ostéopathie est  de libérer les restrictions de mobilité tissulaires afin de rétablir un équilibre physique. Le corps et le psychique sont intimement liés c’est pourquoi  l’équilibre physique favorise un équilibre psychique, énergétique et chimique. Les techniques ostéopathiques sont exclusivements manuelles.
D’après une étude récente réalisée à Montréal  80 % des coureurs se blessent lors de leur pratique chaque année. Lacourse à pied est une activité trèstraumatisante de par la répétition deschocs sur le corps. Il en résulte destensions articulaires, musculaires, ligamentaires qui sont à l’ origine de dysfonctions de mobilité. Si ses restrictions de mobilité ne sont pas éliminées elles provoquent des troubles de la gestuelle sportive pouvant aboutir à de véritables pathologies. Le corps  est capable de s’adapter aux contraintes mécaniques inhérentes à la course à pied toutefois cette adaptation présente des limites. Lorsque l’organisme ne peut plus gérer ses contraintes mécaniques répétitives ce  sont les douleurs et blessures qui apparaissent. Ces dernières entrainent un arrêt plus ou moins long de la course à pied.
Une séance d’ostéopathie peut être intéressante soit dans un but préventif (peu de monde) à raison de une à deux séances par an soit dans un but curatif (trop de monde) dés que les douleurs sont présentes et installées. Il est aussi intéressant d’effectuer une séance d’ostéopathie avant un gros objectif, celle-ci doit néanmoins se réaliser dix à quinze jours avant la course afin que lecorps ait le temps de se rééquilibrer. Certains patients ressentent les effets de la séance pendant une semaine.
Lors de la séance l’ostéopathe réalisera un bilan afin de mettre en évidence des dysfonctions et restrictions de mobilité. Ensuite le professionnel libère les tensions trouvées et rééquilibre le corps par rapport aux nouvelles informations qu’il vient de donner.
Un petit blocage qui pourrait paraitre bénin car très minime peut avoir de grandes conséquences sur le résultat d’une course.
En effet une restriction de mobilité au niveau de la cheville par exemple peut entrainer dans un premier temps une modification du déroulé du pas lors de la course. Puis celle-ci peut  entrainer des tensions au niveau du genou, de la hanche, du bassin puis du dos.
Le corps va réussir au début à s’adapter à cette modification du geste sportif mais si la contrainte mécanique est trop longue  (marathon, ultra trail) le corps va tout d’abord signaler ses troubles par des douleurs et si celles-ci ne sont  pas entendues par le coureur (arrêt de l’effort) c’est le début de certaines pathologies (contractures, élongations, tendinites…).
Le corps fonctionne par chaines musculaires ainsi un blocage de la cheville peut entrainer quelques semaines plus tard un lumbago ou un torticolis…
Le coureur doit être à «  l’écoute » de son corps afin de déceler une tensionanormale ou  l’apparition d’une douleur. C’est pourquoi il est primordial de consulter dés les premiers signes d’alertes.
Chaque séance de course à pied doit se prolonger par des étirements afin de diminuer les tensions et de favoriser la récupération musculaire. Les étirements intéresseront prioritairement les muscles des membres inferieurs et du bassin : triceps sural (mollet), quadriceps (muscles antérieur de la cuisse), ischio-jambiers (muscles postérieur de la cuisse), adducteurs (muscles de la face interne de la cuisse), fessiers, pyramidale, et un muscle très important le muscle ilio-psoas.
Je voudrais également attirer votre attention sur l’importance de ladentition sur la posture et donc par conséquence sur la pratique de la course à pied.
Je vais prendre mon exemple : j’ai réalisé des travaux dentaires tout à fait classiques il y a quelques mois. Plusieurs semaines après, des douleurs au niveau des ischios-jambiers sont apparues. Je suis allé voir un confrère ostéopathe et les douleurs étaient toujours présentes. Je suis donc retourné voir mon dentiste. Il a observé une différence  d’occlusion entre le coté droit et gauche ce qui par l’intermédiaire de l’articulation temporo-mandibulaire entraine des troubles de la posture. Après son intervention les douleurs ont disparues dans les semaines qui ont suivies.
Il est important de rendre visite à son dentiste au moins une fois par an afin d’éviter ce genre de déboire.
Afin de favoriser la récupération il est essentiel de laisser le corps se reposer entre les séances : les phases de repos et de régénération sont tout aussi importantes que les phases d’entrainement.
N’oubliez pas non plus de dormir et de manger sainement !
Vincent Lemoine
Ostéopathe D O

samedi 3 mai 2014

Topo trail de l'amétyste

Demain c'est le trail de l'amétyste.
42 km et 1700 m+. Il devrait faire beau.
Départ 8h00.
Ci dessous mon topo pour demain:

mardi 11 mars 2014

La grippe !!!!

Et oui, un nouveau billet sur ce blog pour vous dévoilez ma dernière histoire...
A nouveau j'ai décidé de me faire un week-end choc. Au programme:
Vendredi: salle avec 10000 M de rameur au total avec des 1 min/ 40s recup. De la musculation quadriceps + gainage.
Samedi: seuil avec du 3 X 15 min en côtes.
Dimanche: 35 km et environ 1800 m+ en sortie longue.

Bon, j'enchaîne correctement le vendredi et samedi. Dimanche sortie longue et d'un coup, autour du 20-25 ème ça va moyen, moyen. J'ai un mal de " chien" vers les côtes. Comme un point de côté mais en pire. Je m'accroche.
Au programme le sarcoui, puy des gouttes, puy de Côme,  puy de dôme, petit et grand suchet et pour finir le puy pariou.
Et bien dans la montée finale du pariou, c'est l'horreur,  un mal de chien pour respirer et qu'elle douleur. Bref je fini à l'arrache !
Je rentre et j'ai vite compris,  les courbatures arrivent, je commence à avoir chaud,  froid !! Galère, la grippe.

Au final, une douleur de chien sur tout le haut du corps et arrêt de l'entraînement jusqu'à demain..grrrrr !!!

Demain reprise avec un tour à la salle. Gainage, musculation et cardio.

jeudi 30 janvier 2014

Test INOV8 TRAILROC 255

Comme promis, mon retour sur ces trailroc 255

Le déballage, je ne résiste pas et j’ouvre dans la voiture.
Elles sont sympa, plutôt fine. Légère mais mas trop non plus.
Les crampons de la semelle sont important mais pas extreme comme sur une roclite par exemple.
Je tente de plier la semelle et outch, c’est dur….mince mois qui avait pour souvenir que les inov étaient souples. Et bien ce n’est plus le cas !

Bon, je rentre, je m’habille et zou, Au premier abord, c’est confortable. Le pied semble bien maintenu même si je suis inquiet car la cheville est laissé très, très libre. On verra.
J’ai testé tous le week end les trailroc en alternance avec les saucony xodus qui font le même poids c’est-à-dire 340 gr pour un 45,5 inov 8 trailroc 255 (on est loin des 255 Gr !!) et un 46,5 chez la saucony.

Première sortie. 14 km et 800M+, de la boue dans un premier temps, boue collante, glissante et ensuite pas mal de pierriers, roches, racines et autres.
Première impression, ça tape ..pas mal du surement à la rigidité de la semelle mais elle va surement s’assouplir.

Ensuite dans la boue et bien ça accroche même très très bien. Les dévers boueux ne lui font pas peur, ça tient. La semelle débourre bien. Nickel.

Par contre je suis surpris du manque de tenu du pied cheville dans la chaussure. Limite à ce faire des entorses. Si je compare avec les Saucony Xodus 4 , c’est le jour et la nuit. La xodus a un châssis très stable et sécurisant permettant d’attaquer à fond sans soucis.
Avec la trailroc 255 c’est moins évident. On ce sent moins en sécurité. Il faut faire attention ou vous posez les pieds. Vous devez être concentré avec ces chaussures sinon c’est la sanction.

La deuxième partie dans les pierriers est excellente car l’inov a une accroche énorme. Ca ne glisse pas. Même sur les pierres humides ou pour descendre il faut jouer le coureur sur des braises avec une pose de pieds hyper rapide et à haute fréquence. Là le pied peut rester plus longtemps en contact, ça ne glissera pas.

Cette chaussure prend vite l’eau mais à contrario, elle sèche très vite aussi.

Si je compare la saucony Xodus et la trailroc 255 je dirais :

Accroche : vainqueur par KO la trailroc, une tuerie. Et pourtant je connais l’accroche très performante des adidas riot3,4, et 5. La sportiva, …. Mais là vraiment c’est énorme. Qu’est ce qu’ils mettent dans leur caoutchouc ??

Stabilité : vainqueur par KO la Xodus 4. La xodus, c’est stable, ça ne bouge pas. Sécurisant. Le top. La trailroc c’est une chaussure de compet, c’est performant mais c’est fatigant, il faut faire gaffe tout le temps, pose de pieds,…..

Confort : Vainqueur Xodus 4. Elles font le même poids tout les deux mais le confort est nettement supérieur chez la saucony. Sur les parties roulantes, la xodus est plus souple et ça tape moins. Le moelleux est plus important que sur la trailroc. La saucony peut être utilisé pour des ultra trail. Avec l’inov je m’arrêterais à des 20 Km.

Bon, vous l’avez compris je préfère les xodus. Pour un poids identique, elles sont plus souple (semelle), plus confortable et surtout beaucoup plus stable permettant de penser à autre chose que sa pose de pied. Mais par contre, je trouve l’accroche des xodus plutôt nul.
Alors rien que d’imaginer une xodus avec une semelle de trailroc, ce serait terrible. Mais que fait Saucony. Qu’ils arrêtent avec leur semelle Vibram !! de la cochonnerie.

Je tiens à dire également que j’ai toute la gamme des trail saucony :
La Xodus 4, la peregrine 3 et bientôt 4, la kinvara TR2.
Et bien toute ont une excellentes stabilité. Bien sur, la Xodus est plus stable que la kinvara TR. Mais même la Kinvara et ces 255 Gr en 46 2/3 est plus stable que la trailroc 255.